Rassemblant les profils ADN de 3,3 millions de personnes et 660.000 traces ADN non identifiées, il a été mis en place le 18 mai 2000.
Il est imaginé après l’affaire Guy Georges, le « tueur de l’Est parisien », pour les auteurs de crimes sexuels avant d’être élargi à d’autres crimes et délits.
Situé à l’Institut national de police scientifique d’Ecully, à côté de Lyon, le FNAEG fonctionne 24h/24 toute l’année.
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