Le fichier national automatisé des empreintes génétiques fête ses 20 ans

Rassemblant les profils ADN de 3,3 millions de personnes et 660.000 traces ADN non identifiées, il a été mis en place le 18 mai 2000.

Il est imaginé après l’affaire Guy Georges, le « tueur de l’Est parisien », pour les auteurs de crimes sexuels avant d’être élargi à d’autres crimes et délits.

Situé à l’Institut national de police scientifique d’Ecully, à côté de Lyon, le FNAEG fonctionne 24h/24 toute l’année.